My sweet pepper land
Hiner Saleem, France, Allemagne, Kurdistan, 2014, 1h34
Synopsis :
Au carrefour de l’Iran, l’Irak et la Turquie, dans un village perdu, lieu de tous les trafics, Baran, officier de police fraîchement débarqué, va tenter de faire respecter la loi. Cet ancien combattant de l’indépendance kurde doit désormais lutter contre Aziz Aga, caïd local. Il fait la rencontre de Govend, l’institutrice du village, jeune femme aussi belle qu’insoumise...
Synopsis :
Au carrefour de l’Iran, l’Irak et la Turquie, dans un village perdu, lieu de tous les trafics, Baran, officier de police fraîchement débarqué, va tenter de faire respecter la loi. Cet ancien combattant de l’indépendance kurde doit désormais lutter contre Aziz Aga, caïd local. Il fait la rencontre de Govend, l’institutrice du village, jeune femme aussi belle qu’insoumise...
Pourquoi avons-nous choisi ce film ?
My sweet pepper land est le nom d’un saloon d’un village perdu dans le nord du Kurdistan. Un saloon ? oui car nous sommes bien devant un western au Kurdistan. Les personnages : un héros, Baran, ancien résistant au régime de Saddam Hussein, qui croit encore à l’instauration d’un régime démocratique, et Govend, jeune institutrice tentant de conquérir ses droits dans une société traditionnelle. Autour d’eux, dans de spectaculaires décors naturels, des résistantes Kurdes et des trafiquants qui tiennent le pays.
Mais il s’agit pas de n’importe quel western : dès l’ouverture du film, une scène de pendaison absurde et délirante nous évoque Sergio Léone. Le ton est donné : il s’agit de parler de faits graves mais sur un ton léger et avec un humour déroutant.
Hiner Saleem évoque avec un grand sens de la dérision, la situation politique, sociale et morale du Kurdistan, aujourd’hui.
Mais il s’agit pas de n’importe quel western : dès l’ouverture du film, une scène de pendaison absurde et délirante nous évoque Sergio Léone. Le ton est donné : il s’agit de parler de faits graves mais sur un ton léger et avec un humour déroutant.
Hiner Saleem évoque avec un grand sens de la dérision, la situation politique, sociale et morale du Kurdistan, aujourd’hui.
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